Infernale
La ronde, de saison en saison
S’enroule autour de soi
Au centre des pressions
Le Ki
Non point qui tue
Mais qui pleure
Et qui rit…Ha !ras
De terre
Et qui gonfle
Au rythme du printemps en rut…
Tapis vole
Feuille morte en cadence,
Roulé-boulé
Kochinage, irimi
Sans cesse renouvelé
Pour parfaire
A chaque instant
L’œuvre commencée
Parfois ceinte d’une ceinture
Blanche ou noire
Suivant le tempo de chacun !
A la fête ici bas
Êtes conviés en assemblée, pour à Buziet
Boire, chanter et danser
Jusqu’au matin, à l’aube annoncée.
Prenez guitares et tambourins,
Et tout le bataclin !!
A vos chapeaux,
Et vos marques, si ça vous chante.