Des aubes au couchant
L’infatigable retour des choses
Nous relie,
A la roue de la vie.
Mais sur le tatamis
Nous guette le morne ennui
Et la répétition peut amener au dessèchement.
Mais quelque part, tapi au fond du
« hara »,
Veille une étincelle, un souffle
Qui attise les braises sous la cendre.
Alors au bout des doigts
A la pointe des sabres
Peut jaillir l’énergie créatrice,
Ne serait-ce l’espace d’un instant…
Chacun à sa mesure bien sur.
En attendant, on pourrait l’inspiration
Autour d’une galette si royale soit elle !!!
A vos sabres samouraïs,
Et bon Kiaï