Symphonie d’automne
Il existe des vertiges insondables
Qui du peintre ou de l’écrivain
Cette blancheur insoutenable,
Dont ils redoutent soudain
D 'en être la victime expiatoire.
Notre vertige est dans le renouveau,
Il claque comme un Do sur le Sol,
Histoire de se redonner la cadence
Momentanément rompue
Par le point d’orgue de l’été.
Ikkyo et Irimi,
Voilà les premières mesures
De la symphonie des tatamis
Dont nous sommes les principaux interprètes.